21 décembre 2024

Utilisation et abus des API e-commerce par les systèmes de gestion : un avertissement des administrateurs système aux développeurs

Une analyse des défis techniques des API de commerce électronique et des solutions pratiques pour les développeurs et les ingénieurs système, améliorant la stabilité, les performances et la satisfaction client.

Logiciel de gestion d'API de commerce électronique

Introduction

Aujourd’hui, le e-commerce fait partie intégrante de notre quotidien. La commodité d’acheter des produits en ligne a transformé le paysage commercial, poussant de nombreuses entreprises à créer des plateformes de vente numériques. Parmi les solutions les plus répandues on retrouve les CMS open source comme WooCommerce, PrestaShop et Magento, ainsi que les plateformes SaaS ou PaaS comme Shopify.

Les solutions auto-hébergées comme WooCommerce et Magento sont principalement basées sur des technologies comme PHP et MySQL (ou des forks comme MariaDB et Percona Server). Si ces technologies ont été optimisées au fil du temps grâce à des outils comme OpCache et la compilation JIT, elles restent des systèmes synchrones qui attendent souvent les réponses de la base de données. Malgré ces limites, l’utilisation stratégique de la mise en cache nous a permis de masquer ces inefficacités, en offrant aux utilisateurs des expériences fluides et engageantes.

Cependant, une question cruciale, encore mal comprise, concerne l’utilisation des API de ces CMS par des logiciels de gestion ou middleware. Ces outils sont conçus pour gérer les entrepôts, synchroniser les stocks ou traiter les commandes via les API des plateformes e-commerce. Cet article se veut donc un avertissement pour les développeurs de telles solutions.

Si vous lisez cet article, il y a de fortes chances que vous soyez un développeur de gestion ou de middleware. Il y a quelque chose d'important que je veux vous dire, au nom de tous les ingénieurs système qui partagent les mêmes frustrations : il est essentiel de mieux comprendre l'impact de vos applications sur les infrastructures serveurs et de trouver des solutions qui respectent ces limitations.

1. PHP est lent et MySQL encore plus lent

PHP et MySQL, bien que des technologies matures et largement utilisées, présentent des limitations architecturales inhérentes qui ne peuvent pas être complètement surmontées. PHP est un langage synchrone : chaque opération est effectuée en séquence, et le cycle de vie d'un processus PHP comprend inévitablement des moments d'attente, souvent liés aux réponses provenant de la base de données. Cela signifie que, même avec l'utilisation d'outils comme OpCache ou la compilation JIT, PHP reste une technologie aux performances limitées par rapport aux approches asynchrones plus modernes.

MySQL, quant à lui, est un système de base de données relationnelle solide et polyvalent, mais conçu pour fonctionner sur un modèle qui, en présence de requêtes non optimisées ou de grands ensembles de données, devient facilement un goulot d'étranglement. Chaque requête complexe, ou pire, mal structurée, peut nécessiter des ressources importantes à traiter, ce qui a un impact direct sur les performances globales du système.

Lorsqu’on utilise des CMS comme WooCommerce, PrestaShop ou Magento, la situation devient encore plus compliquée. Ces outils sont conçus pour offrir un maximum de flexibilité et de fonctionnalités, mais sont rarement optimisés « prêts à l'emploi » pour les environnements à fort trafic ou les charges intenses. L'utilisation de plugins et de modules supplémentaires, souvent nécessaires pour personnaliser et améliorer les fonctionnalités de la plateforme, ajoute de la complexité au système : le nombre de requêtes exécutées, l'interdépendance entre les processus et, inévitablement, les temps de réponse augmentent.

Chaque requête API envoyée par un système de gestion ou un middleware amplifie ces problèmes. Un seul appel d'API peut générer des dizaines de requêtes SQL sur votre base de données, enchaînant des opérations qui impliquent non seulement les tables principales (telles que les produits ou les commandes), mais également des métadonnées, des relations complexes et des plugins supplémentaires. Cette charge supplémentaire, si elle est répétée massivement ou de manière incontrôlée, peut rapidement entraîner une surcharge du serveur, dégradant l'expérience utilisateur et mettant en péril la stabilité de l'ensemble du système.

2. Les API ne peuvent pas être mises en cache

Contrairement aux pages web qui peuvent bénéficier d’un cache pleine page (par exemple avec Varnish), les API ne peuvent pas être mises en cache de la même manière. Chaque requête API doit être traitée en temps réel, impliquant de nombreux processus côté serveur. Ce cycle commence par l'analyse de la requête (corps de la requête), passe par l'exécution de requêtes SQL sur la base de données, et se termine par la génération de la réponse au format JSON. Contrairement au contenu statique, les API servent des données dynamiques, souvent uniques pour chaque requête, ce qui rend impossible l'utilisation des systèmes de mise en cache traditionnels.

Le résultat est que chaque appel d'API introduit une charge de calcul importante à la fois sur le serveur Web et sur la base de données. La performance de l'infrastructure dépend donc entièrement de la puissance du serveur et de la qualité du code applicatif. Même avec un matériel hautes performances, des routines d'application inefficaces peuvent nuire à tout effort d'optimisation. Des requêtes mal conçues, un manque d'index appropriés et un code PHP non optimisé peuvent entraîner des temps de réponse élevés et compromettre l'expérience utilisateur.

De plus, le réglage côté serveur, aussi avancé soit-il, ne peut pas compenser les demandes API massives ou non rationalisées. Une gestion inattentive des API devient un problème structurel, qui affecte négativement non seulement le commerce électronique en question, mais également les services partagés sur le même serveur.

3. Tous les sites de commerce électronique n'ont pas Serveurs Dédiés

Un aspect souvent négligé par les développeurs est que tous les sites de commerce électronique ne fonctionnent pas sur Serveurs Dédiés. Les premières étapes d'une entreprise en ligne voient souvent les propriétaires opter pour des solutions partagées (hébergement partagé) ou des VPS bon marché, attirés par les faibles coûts. Bien que ces plans puissent être optimisés pour une utilisation standard, ils ne sont pas conçus pour gérer des charges intensives comme celles générées par des requêtes API massives.

Lorsqu’un système de gestion ou un middleware envoie des flux continus d’appels API, l’ensemble de l’écosystème de serveurs peut s’effondrer. Dans les environnements partagés, où plusieurs sites Web cohabitent sur le même matériel, une seule application générant un nombre élevé de requêtes peut monopoliser les ressources, provoquant des ralentissements ou des crashs pour tous les autres sites hébergés. Cela affecte non seulement négativement l’expérience utilisateur du commerce électronique concerné, mais peut également compromettre le fonctionnement d’autres clients sur le même serveur.

Cette situation peut dégénérer en une véritable attaque DoS (Denial of Service), même involontaire., où le nombre excessif de requêtes API rend le serveur incapable de répondre de manière adéquate. Les utilisateurs finaux sont confrontés à des erreurs, des temps de chargement longs ou des interruptions de service, tandis que l'administrateur système se retrouve confronté à une situation complexe, avec des ressources limitées pour intervenir rapidement.

Une gestion responsable des API est essentielle pour éviter ces problèmes. Les développeurs et propriétaires de logiciels doivent soigneusement considérer les limitations matérielles et adopter des solutions qui minimisent l'impact de leurs applications sur les infrastructures partagées.

Les conséquences d’une mauvaise utilisation des API

L'abus d'API a des conséquences directes pour toutes les parties impliquées :

  1. Clients finaux : ils vivent une mauvaise expérience, avec des mises à jour d'inventaire incomplètes ou des commandes partiellement traitées.
  2. Ingénieurs systèmes : ils se retrouvent confrontés à des frais généraux ingérables, avec la frustration supplémentaire de ne pas pouvoir appliquer de solutions de mise en cache.
  3. Développeurs de gestion : ils reçoivent des plaintes et des demandes d'explications, risquant de perdre leur crédibilité et leurs clients.

Pour éviter tout cela, il est essentiel de mettre en œuvre des solutions réduisant la charge générée par les applications.

Conseils pratiques pour les développeurs

Pour assurer une interaction efficace et durable entre votre logiciel de gestion et les plateformes e-commerce, il est essentiel d’adopter des méthodologies qui respectent les limites des infrastructures serveurs et optimisent l’utilisation des ressources. Les conseils pratiques suivants sont conçus pour vous aider à concevoir des applications plus robustes, plus efficaces et capables de fournir une excellente expérience utilisateur, tout en minimisant les risques de surcharge ou de dysfonctionnement.

Mettre en œuvre un système de limitation

Il étranglement est une technique utilisée pour réguler le flux de requêtes envoyées à un serveur, en limitant leur fréquence sur une certaine période de temps. Cette approche permet d'éviter les surcharges sur le serveur, en maintenant un équilibre entre la charge traitée et les ressources disponibles. La limitation est particulièrement utile pour éviter les situations de stress excessif sur les infrastructures de serveurs, notamment lors de l'utilisation d'API générant des charges de calcul élevées.

Par exemple, vous pouvez implémenter un système de limitation en configurant un délai (par exemple via une commande sleep) entre les requêtes, fixant une limite maximale d'une requête par seconde. Même si votre serveur peut en gérer davantage, maintenir un intervalle minimum de 0,5 ou 1 seconde est une bonne pratique pour garantir la stabilité et éviter les surcharges inattendues.

De plus, un système de limitation bien conçu ne doit pas nécessairement être statique, mais dynamique et adaptatif. Cela signifie que la limite de requêtes par seconde peut être modulée en fonction des conditions de fonctionnement du serveur. Par exemple:

Faibles charges : Lorsque le serveur est sous-utilisé, le système peut légèrement augmenter le nombre de requêtes autorisées pour optimiser les opérations.

Charges élevées : Pendant les périodes de stress ou de lenteur accrue du serveur, la limitation devrait automatiquement augmenter le délai entre les requêtes pour alléger la charge.

L'intégration de la limitation dans vos applications améliore non seulement la stabilité du serveur, mais garantit également une utilisation plus juste et plus prévisible des ressources. Ceci est particulièrement important dans les environnements partagés ou lors de la gestion d’API essentielles au fonctionnement d’une entreprise.

Respecter les codes de réponse HTTP

La conformité aux codes de réponse HTTP est essentielle pour garantir un fonctionnement robuste et stable des applications qui interagissent avec les serveurs distants. Lorsque le serveur renvoie des erreurs de type 500 (Erreur interne du serveur), indique qu'il est confronté à un problème interne ou qu'il est soumis à une charge excessive. Ces signaux doivent être interprétés comme critiques par votre application, qui doit réagir en mettant en œuvre des stratégies de gestion pour éviter de nouvelles surcharges et améliorer l'efficacité globale du système.

Stratégies de gestion :

  1. Renvoyer les demandes ayant échoué
    Plutôt que de réessayer immédiatement une requête ayant échoué, il est important de définir un court intervalle d'attente avant de réessayer. Cette approche, connue sous le nom Délai de nouvelle tentative, permet au serveur de récupérer des ressources et réduit le risque d'aggraver la situation. Le délai entre les tentatives peut être :

    • Fixé: un intervalle de temps constant (par exemple, 5 secondes).
    • Incrémentiel ou exponentiel : le délai augmente progressivement à chaque tentative suivante, par exemple 5 secondes pour la première tentative, 10 secondes pour la seconde, et ainsi de suite. Cette approche est utile pour gérer les situations dans lesquelles le serveur met plus de temps à être de nouveau opérationnel.
  2. Augmenter dynamiquement la limitation
    Si 500 erreurs persistent, le système devrait ajuster automatiquement le nombre de requêtes envoyées, soit en augmentant le délai entre les requêtes, soit en réduisant leur fréquence. Ce comportement dynamique garantit une approche plus durable lors des pics de charge, évitant une aggravation des conditions du serveur tout en maintenant un niveau de fonctionnement minimum.

Avantages de l'adaptabilité :

Ces stratégies vous permettent de gérer les situations de stress du système, telles que :

  • Promotions et pics de trafic : lors d'événements spéciaux qui augmentent soudainement le nombre d'utilisateurs et de demandes.
  • Attaques de robots ou de robots : situations dans lesquelles les accès automatiques peuvent générer des charges inattendues.
  • Charges aléatoires : conditions de surcharge temporaires dues aux fluctuations du trafic ou aux ressources limitées.

En suivant ces principes, votre application sera non seulement plus résiliente, mais elle améliorera également l'expérience de l'utilisateur final en évitant les pannes prolongées et en garantissant une utilisation responsable des ressources du serveur.

Gérer correctement le code HTTP 429 « Too Many Requests »

Le code HTTP 429 "Trop de demandes" est une réponse standard utilisée par les serveurs pour indiquer que le client a dépassé la limite de requêtes autorisées dans un certain intervalle de temps. Ce code, introduit dans la spécification HTTP/1.1, est largement utilisé dans les systèmes qui mettent en œuvre des politiques de sécurité. limitation de débit pour éviter les surcharges ou les abus des ressources du serveur.

Que signifie techniquement le code HTTP 429 ?

Lorsqu'un client (par exemple, une application qui utilise une API) envoie trop de requêtes sur une courte période, le serveur bloque temporairement les requêtes ultérieures en renvoyant le code 429. La réponse du serveur peut inclure :

  • En-tête Retry-After: spécifie la durée (en secondes ou sous forme d'horodatage) pendant laquelle le client doit attendre avant de réessayer. Cet en-tête est facultatif, mais fortement recommandé pour communiquer clairement les règles de limitation de débit au client.
  • Message d'erreur : un corps de réponse qui explique la raison du blocage ou fournit des détails sur les politiques de limitation appliquées.

Comment gérer correctement le code HTTP 429

  1. Réessayez la demande après l'intervalle indiqué
    Lorsque le serveur renvoie un code 429 avec l'en-tête Retry-After, votre demande doit respecter le délai d'attente précisé. Cela signifie:

    • Analyser l'en-tête Retry-After: lisez la valeur fournie par le serveur pour calculer l'intervalle d'attente.
    • Implémentez une file d'attente : suspendre la demande jusqu'à l'expiration du délai indiqué, en évitant d'envoyer d'autres demandes qui seraient rejetées.

    Si l'en-tête Retry-After n'est pas présent, il est de bonne pratique d'adopter un délai prédéfini (par exemple, 30 ou 60 secondes) pour garantir un comportement responsable et respectueux des ressources du serveur.

  2. Moduler dynamiquement la limitation
    En réponse à un code 429, votre application doit ajuster automatiquement le taux de requêtes pour respecter les limites imposées par le serveur. Cela peut être accompli grâce à :

    • Réduction du nombre de requêtes par seconde : ajuster dynamiquement le rythme des demandes pour éviter de nouvelles erreurs.
    • Algorithmes d'intervalle exponentiel : augmenter progressivement l’intervalle entre les requêtes ultérieures. Par exemple:
      • 1 seconde pour la première tentative.
      • 2 secondes pour la deuxième tentative.
      • 4 secondes pour la troisième tentative, et ainsi de suite.
        Cette approche permet au serveur de récupérer des ressources et réduit le risque de surcharges continues.
  3. Surveiller et enregistrer les occurrences de 429
    L'intégration d'un système de journalisation pour suivre les 429 réponses reçues permet d'identifier les modèles problématiques et d'optimiser le comportement de votre application. Par exemple:

    • Analyse des seuils : détecter quand et pourquoi les limites sont dépassées.
    • Alertes automatiques : envoyer des notifications aux responsables techniques lorsque le nombre de 429 dépasse un seuil critique, permettant une intervention rapide.

Avantages d’une gestion correcte

Une bonne gestion du code HTTP 429 offre de nombreux avantages :

  • Évitez la surcharge du serveur : le respect des limites imposées garantit la stabilité et l’efficacité du système.
  • Améliorer l'expérience utilisateur : Une communication fluide et prévisible entre le client et le serveur réduit les temps d'arrêt et les dysfonctionnements.
  • Optimiser l’efficacité opérationnelle : En adaptant dynamiquement le comportement de votre application, vous pouvez maximiser l'utilisation des ressources sans dépasser les limites.

Une application bien conçue ne se contente pas de reconnaître et de répondre aux codes HTTP 429, mais utilise ces informations comme retour d'information pour améliorer le traitement des requêtes en temps réel, garantissant ainsi une plus grande fiabilité et des performances globales du système.

conclusion

Résoudre les problèmes liés à l'abus des API et aux limitations des infrastructures de serveurs est non seulement possible, mais peut devenir une opportunité pour améliorer l'ensemble de l'écosystème numérique, en adoptant des stratégies ciblées et des solutions techniques bien conçues. La mise en œuvre de techniques telles que la limitation dynamique, l'application du code de réponse HTTP et la gestion intelligente des limites de requêtes améliore non seulement la stabilité du système, mais optimise également les performances globales en réduisant les temps d'arrêt et les problèmes de surcharge. Ces approches garantissent une gestion responsable des ressources et une expérience utilisateur fluide et prévisible, essentielles au succès du commerce électronique moderne.

Cependant, la clé pour obtenir des résultats vraiment excellents réside dans une collaboration synergique entre les développeurs et le département d'hébergement et des systèmes. Les développeurs, connaissant le potentiel et les limites de l'infrastructure, peuvent concevoir des solutions logicielles qui respectent les capacités du serveur, en évitant les demandes excessives ou les inefficacités critiques. Dans le même temps, les ingénieurs système peuvent fournir de précieux commentaires sur les performances réelles et suggérer des configurations et des optimisations qui améliorent encore le comportement des applications.

Cette coopération n’est pas seulement technique, mais stratégique : vous permet d'anticiper les problèmes, de les résoudre avec des approches évolutives et de garantir un niveau de service supérieur au client final. Le client, qui est au centre de tout le processus, bénéficie d’un e-commerce stable, rapide et fiable, éléments fondamentaux pour la satisfaction des utilisateurs et le succès commercial.

En fin de compte, seule une approche collaborative entre développeurs et ingénieurs système peut transformer les limitations de l’infrastructure en opportunités pour créer un écosystème plus solide et plus enrichissant. C’est cette synergie qui nous permet d’offrir une valeur ajoutée significative au client final, assurant non seulement le bien-être du e-commerce, mais aussi son succès durable sur un marché de plus en plus concurrentiel. Ensemble, vous pouvez créer une expérience qui non seulement répond, mais dépasse les attentes, en améliorant chaque aspect de l'infrastructure et des logiciels qui la prennent en charge.

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